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3D SPORT CENTER

3D SPORT Center - Un regard curieux et observateur dans le secteur du Sport : révélations de changements dans le monde du SPORT ! En route vers le futur grâce l'intégration d'innovations technologiques et de bonnes idées : Faits majeurs, Tendances, Curiosités contemporaines ... bientôt réalités de notre quotidien. Le WEB, matière vivante !

Articles avec #france catégorie

Alex Thomson forced to withdraw from the Transat Jacques Vabre race after severe damage to the keel of his Hugo Boss boat

Publié le 3 Novembre 2019 par 3D SPORT CENTER dans Neal McDonald, Alex Thomson, Transat Jacques Vabre, course, course au large, course transatlantique, course mythique voile, France, Brazil, Hugo Boss

British sailor Alex Thomson has been forced to withdraw from the Transat Jacques Vabre race after severe damage to the keel of his Hugo Boss boat.

Hampshire's Thomson, who is bidding to win the Vendee Globe in 2020 on board the 60ft Imoca class craft, was unhurt.

He and former Olympic sailor Neal McDonald have been competing together in the double-handed race.

They had completed just over a third of the 4,350-mile course from France to Brazil at the time of the accident.

Thomson, 45, unveiled the new £6m edition of his boat in September and this was the first time it had raced competitively.

Early on Sunday, while racing at around 25 knots, they hit something in the water which left the boat's keel only attached by the hydraulic ram.

The team said it was not clear what they hit when the vessel was about 420 miles southwest from Madeira and 380 miles northwest of the Canary Islands.

They are now working to find the safest port to navigate to.

Thomson, from Gosport, finished second in the 2017 Vendee Globe solo round-the-world race and is aiming to become the first British winner in 2020.

 

read more :  https://www.bbc.com/sport/sailing/50283178

 

 

HUGO BOSS: THE LAUNCH

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La discipline ESCALADE fait son entrée aux JO Jeux Olympiques de 2020

Publié le 25 Octobre 2018 par 3D SPORT CENTER dans Jeux Olympiques, JO, France, Tokyo, skateboard, surf, escalade, 2020, JO 2020, escalade sportive, Jeux de Tokyo 2020, sport, athlète, grimpeur

Quel format pour l'escalade aux JO de Tokyo 2020 ?

 

A l'instar du baseball, du karaté, du skateboard et du surf, l'escalade constituera - pour la première fois de son histoire - une épreuve aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2020. Avec un grand enjeu : quel sera le format de la future compétition reine de l'escalade sportive ?

Le 3 août 2016 - dans sa 129e Session réunie à Rio (BRA) en amont des Jeux Olympiques - le CIO mettait fin à une attente de près de 30 ans des instances fédérales nationales et internationales : l'escalade est olympique. Elle sera au programme des Jeux de Tokyo en 2020. Soulagement.
Au travail ! Cette annonce a surtout été le point de départ d'un long processus de réflexion autour d'une question centrale : quel format pour l'escalade olympique ? Car le CIO a accompagné sa décision d'un cadeau empoisonné à l'IFSC, la fédération internationale d'escalade.

Le deal est simple : seuls 20 femmes et 20 hommes pourront participer à cette nouvelle épreuve olympique. C'est une décision prise entre le CIO et le COJO, le comité d'organisation local des JO de Tokyo. Il ne peut donc y avoir qu'une médaille pour les femmes et une pour les hommes. Un casse-tête pour la gouvernance de l'escalade. Pour s'en démêler, et ne laisser aucune des trois disciplines sur le carreau, l'IFSC a fait le choix de contourner le problème, et de proposer au CIO un format combiné de la vitesse, du bloc et de la difficulté.

Restait à dessiner ce nouveau format. Pour accompagner l'IFSC dans ce processus de création, la FFME (la fédération française d'escalade) et Austria Climbing (la fédération autrichienne d'escalade) ont proposé aux cinq autres fédérations nationales les plus importantes de faire des propositions, de les tester en conditions réelles, et d'en tirer une ou plusieurs propositions à faire à l'IFSC. Le groupe de travail – baptisé G7 - a simultanément informé l'IFSC de sa constitution, initiative que le bureau exécutif de la fédération internationale a ensuite validée et observée de près.

« Nous avions plusieurs impératifs en tête au moment de dessiner les contours de l'escalade olympique : respecter les grimpeurs, respecter les disciplines, respecter le public et intégrer le cahier des charges du CIO. Des directives de l'instance olympique, qui portent notamment sur des questions de durée d'épreuves et de contraintes de retransmission télévisuelle. Pas une mince affaire », explique Damien You, directeur-adjoint de la FFME en charge du haut-niveau, en première ligne dans l'effort du G7.

Ce groupe de travail - composé des fédérations italiennes, autrichiennes, russes, japonaises, chinoises, espagnoles et françaises - a commencé à plancher à l'automne 2016. « Ce fut un processus très intéressant. Cela a permis à chacun d'exprimer sa vision de notre sport et de confronter les différentes cultures de l'escalade. Les Chinois ne perçoivent pas nos disciplines de la même manière que les Autrichiens, par exemple », poursuit Damien You.

Discussions, séances de travail, et les 3 et 4 décembre 2016, un « test event » à Voiron en France, où l'ensemble des fédérations du groupe se sont retrouvées pour tester en conditions réelles - et avec des athlètes internationaux - les différentes propositions.
« A l'issue de ces tests, nous sommes parvenus à trouver un compromis. Car oui, c'est un compromis. Et nous avons livré le tout à l'IFSC en début d'année. C'est la fédération internationale qui a eu le dernier mot », assure Damien You. L'IFSC s'est prononcée le 11 mars 2017, durant son Assemblée générale à Québec (CAN), sur la proposition qu'elle a retenue. Et voilà ce que l'on sait aujourd'hui du format olympique de l'escalade.

Le schéma probable de la compétition d'escalade aux JO de Tokyo 2020 (LucasBoirat/FFME/D.R)
Le schéma probable de la compétition d'escalade aux JO de Tokyo 2020 (LucasBoirat/FFME/D.R)

Quelles sont les premières conclusions que l'on peut en tirer ?

On ne sait pas encore quel sera le processus de sélection pour les athlètes qui concourront à Tokyo. « Une seule chose est sûre : ils seront sélectionnés via une compétition au format olympique. Une forme de tournoi pré-olympique ou a minima un circuit de combiné olympique tenu à l'occasion d'un grand championnat. Un champion du monde sur une seule discipline ne sera pas sélectionné automatiquement par exemple », explique Damien You.

La finale se déroulera d'une seule traite, par l'enchaînement - dans cet ordre - de la vitesse, du bloc et de la difficulté. Et pourquoi dans cet ordre ? « Parce que compte-tenu du type d'effort dans chacune des disciplines et de leur timing, il était évident de choisir cette formule. »

Pas de grand bouleversement sur le déroulement des trois disciplines n'est à observer : la vitesse, le bloc et la difficulté se dérouleront selon le règlement de la Coupe du monde IFSC. « Il est important de montrer aux yeux du monde de vrais sports avec des athlètes de pointe. A moins de 4 ans des Jeux, il n'était pas possible d'opérer de grands changements, au risque de faire concourir des grimpeurs qui auraient dû s'adapter fortement à chacune des disciplines, en plus de devoir appréhender la formule combinée. »

Les classements à l'issue des qualifications et des phases finales se faisant en multipliant les rangs des résultats des trois disciplines, il favorisera les spécialistes. Les spécialistes d'une des trois disciplines ? « Je ne pense pas. Mon sentiment, c'est que le(la) futur(e) champion(ne) olympique sera un(e) grand(e) spécialiste d'une, voire de deux disciplines. Athlète qui aura su, en plus, ne pas passer complètement à côté de la 3e », conclut Damien You.

Et après Tokyo ? Rien n'est entériné pour le moment. L'escalade a deux moyens d'être aux JO 2024 à Los Angeles (USA) ou à Paris (FRA) : être à nouveau choisi en sport additionnel, ou intégrer le programme olympique par la grande porte. Encore une fois, une seule chose est sûre : nous saurons cet été si cette 2e option a été choisie par le CIO. Affaire à suivre.

source : https://www.lequipe.fr/Adrenaline/Escalade/Actualites/Escalade-et-olympisme-quel-format-pour-l-escalade-aux-jo-de-tokyo-2020/800116

ESCALADE : L'incroyable ascension des frères MAWEM !

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Nouveau plan VELO en France : le gouvernement souhaite une reelle politique - Vu sur le Blog d'ECOVELO !

Publié le 26 Février 2018 par 3D SPORT CENTER dans velo, VLS, deplacement court, France, changement, La ministre des Transports, Titibike, velo electrique, sante publique, VAE, mobilite active, indemnite kilometrique velo, IKV

Notre stratégie de mobilité comprendra un plan vélo

La ministre des Transports Elisabeth Borne

Quand on sait que 75% des déplacements font moins de 5 km, il faut arrêter de regarder le vélo avec condescendance en considérant que c’est un sujet mineur. Il y a une aspiration de nos concitoyens à un changement culturel sur ce sujet

La ministre des Transports Elisabeth Borne

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Flyboard Air : Franky Zapata signe un record du monde avec son hoverboard

Publié le 2 Mai 2016 par OOKAWA-Corp dans Franky Zapata, Zapata Racing, flyboard air, ecord du monde, drone, engin volant, France, hoverboard

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Un site WEB pour le SURF : meteo, vague, orientation houle, etc...

Publié le 22 Juillet 2014 par OOKAWA-Corp dans France, sport de glisse, sport, web, smartphone

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Le sport se consomme et se pratique avec son smartphone

Publié le 24 Juin 2014 par 3D SPORT CENTER dans sport, smartphone, apps, france

Le sport se consomme et se pratique avec son smartphone

Le sport se consomme et se pratique avec son smartphone

Qui n'a pas déjà téléchargé une application sportive sur son smarphone ? Les français, en tout cas, en sont plutôt friands, puisque 34% d'entre eux ont déjà téléchargé une telle application. Et avec l'été sportif qui s'annonce, les téléchargements et les échanges entre mordus ne devraient pas faiblir.

C'est HTC qui s'est penché ce phénomène qui, en pleine Coupe du Monde de football, trouve un écho inattendu.

Ainsi, plus d'un français sur 3 utilise une application dédiée au sport et 14% ont même programmé des alertes ou des notifications permettant de recevoir en mode push certaines infos.

Pour 50% des possesseurs de smartphones, l’information sportive se consomme en direct. Ainsi, l'affichage des scores en live est plus suivi (47%) que la vidéo en direct (27%). La faute certainement à l'incapacité des réseaux mobiles à maintenir un signal de qualité en déplacement. Ainsi, que ce soit au bureau (35%), dans les transports (40%) ou à domicile (59%), les français sont nombreux à suivre l'évolution des scores en direct.

Il est également à noter qu'un possesseur de smartphone sur quatre a déjà partagé une information sportive via son terminal. 72% d’entre eux le font après l’événement, 55% en temps réel et 22% avant le match. Il s'agit principalement de SMS/MMS (63%) et de publications sur les réseaux sociaux (54%). Le plus amusant, c'est que 74% de ceux qui partagent de l’information sportive sont devant la télévision au moment où ils le font.L'objectif de ces commentaires ? Simplement échanger avec ses amis sur les résultats (64%) et le déroulé d'un match (53%).

Enfin, sachez que 86% des utilisateurs d'apps sportives avouent pratiquer une activité sportives et 56% le font sans se séparer de leur smartphone. 33% se contentent d'écouter de la musique et 15% l'utilisent pour mesurer leurs performances grâce à diverses applications.

Source : http://www.itrnews.com/articles/149005/sport-consomme-pratique-son-smartphone.html?key=2c33f281d3ad3e8e

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