
"Une image vaut 1000 Mots"
Le phénomène "partage" vu en image, déclenché par l'avènement des Réseaux Sociaux.
EPIC WATER SLIDE : BSR Royal Flush - Waco, Texas
3D SPORT Center - Un regard curieux et observateur dans le secteur du Sport : révélations de changements dans le monde du SPORT ! En route vers le futur grâce l'intégration d'innovations technologiques et de bonnes idées : Faits majeurs, Tendances, Curiosités contemporaines ... bientôt réalités de notre quotidien. Le WEB, matière vivante !
Publié le 6 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans be sociable, b'sociable, reseau social, reseaux sociaux, gopro, hero, sport, partager, communication, image, video
"Une image vaut 1000 Mots"
Le phénomène "partage" vu en image, déclenché par l'avènement des Réseaux Sociaux.
EPIC WATER SLIDE : BSR Royal Flush - Waco, Texas
Publié le 5 Octobre 2017 par OOKAWA-Corp dans gopro, hero, fusion, image, b'360, be 360, sport, be digital, b360, visite virtuelle
Cet article est reposté depuis OOKAWA Corp..
GoPro Hero6 réalité virtuelle Gopro FUSION : du 360° en 5.2K au Full HD 16:9
La Fusion n'est pas qu'une simple caméra 360° : selon la marque GoPro, la haute définition donnerait la possibilité d'extraire des données à partir de la captation 360° pour créer du contenu HD selon différents angles. La GoPro Fusion pourra filmer en 360° avec une définition de 5 200 000 points à 30 i/s (5,2K/30) ce qui est assez exceptionnel pour une caméra monobloc. Pour mémoire,
GoPro Hero6 réalité virtuelle Gopro FUSION : du 360° en 5.2K au Full HD 16:9
Publié le 3 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans Pays-Bas, Lituanie, Danemark, velo, velo libre service, europe, start-up, street marketing, Chine, Hollande, USA, sport, trafic, deplacement urbain
Les systèmes de vélo en libre-service fonctionnent mieux lorsqu'ils font partie d'une vision globale du réseau de transport de la ville
Ce sont des images que vous avez déjà vu dans les médias l'année dernière. Il s'agissait des vélos en libre-service des entreprises chinoises Mobike, BlueGogo ou encore Ofo...
Nous vous avions déjà parlé de la compagnie Mobike en janvier dernier
Les chiffres donnent le vertige. Ces compagnies se font financer à coups de millions de dollars par de grands groupes d'investisseurs. En novembre 2016, Ofo avait déployé 200 000 vélos en Chine dont 30 000 à Shanghai. Quand à Mobike, plus de 30 000 vélos ont été implémenté en quelques semaines dans quatre grandes villes chinoises. Aujourd'hui, elle "gère" plus de 5 millions de vélos dans une centaine de ville en Chine.
Et ces start-up, qui génèrent des millions de revenus, ont fait des petits. Des dizaines d'autres sociétés ont flairé le filon, copié le concept (habitude chinoise) et ont elles-aussi balancé des centaines de vélos dans les rues.
Leur concept est innovant puisqu'il ne repose plus sur un système de bornes. Les utilisateurs doivent disposer d'un smartphone. L'application géolocalise les vélos proches de vous. Un concept dont je vous avais déjà parlé en 2010 avec la start-up Social Bicycles.
Vous avez d'un coté un système peu onéreux pour l'utilisateur (parfois quelques centimes le trajet) et de l'autre, des utilisateurs peu soucieux d'un objet qui ne leur appartient pas.
Résultat : des milliers de vélos en mauvais état de fonctionnement ce sont amoncelés un peu partout dans le pays. De plus, les systèmes de verrouillage se sont avérés facile à détourner, faisant de ces vélos des cibles de choix pour les voleurs.
Pire encore, n'ayant pas besoin de borne, certains utilisateurs court-circuitent le système et jugent normal de conserver la monture chez eux (appartement, jardin, garage...), empêchant par la même un autre utilisateur de le louer. On retrouve également ces vélos en vente sur des sites de petites annonces ou d'enchères.
L'exemple de Wukong Bike est édifiant : cette société avait implanté 1200 vélos dans la ville de Chonqing, mais elle a dû mettre la clé sous la porte seulement cinq mois plus tard.
La cause : 90% de sa flotte avait tout simplement disparu !
Les start-up derrières ces vélos en libre-service brassent des millions bien qu'elles ne soient pas encore rentable. Pire, elles s'avèrent aussi peu regardante sur la planification et sur la régulation de leur service. Elles se permettent ainsi d'aller s'implanter dans des villes, sans même avoir reçu la moindre autorisation.
Ce fut le cas de l'entreprise BlueGogo qui, du jour au lendemain, a déversé des centaines de vélos dans les rues de San Francisco, entraînant les mêmes problèmes cités plus haut. Mais la ville a vite réagi, en interdisant purement et simplement à la société chinoise d'implanter ses vélos et en leur ordonnant de les retirer immédiatement de la voie publique, avec une amende salée à la clé.
Après l'Asie, et avec les Etats-Unis et l'Australie, ces sociétés lorgnent désormais sur la vieille Europe, en tentant de s'y implanter de manière plus ou moins légales. Récemment à Amsterdam, voyant d'un mauvais œil ces vélos débarquer dans des rues déjà saturées de bicyclettes, a réussi à interdire ce type de système jusqu'à nouvel ordre.
Aujourd'hui, ces sociétés ont procédé à des lancements au Royaume-Uni (Londres, Cambridge, Manchester) et plus récemment encore en Italie (Florence et Milan). Les municipalités sont en effet séduites par le coût très faible de l'installation de tels systèmes, puisqu'ils ne nécessitent aucune modification lourde de voirie.
Seulement, les édiles doivent aussi considérer l'impact que peut avoir le déversement de centaines de vélos sur ses habitants et sur la façon dont ils se déplacent. L’infrastructure se doit d'être à la hauteur et cela ne se fait pas en un claquement de doigt. Et cela doit s'accompagner d'un minimum de pédagogie auprès des futurs utilisateurs.
L'ECF, la fédération européenne des cyclistes, a récemment exprimé ses craintes face à l'invasion des vélos sans bornes : "Les systèmes de vélo en libre-service fonctionnent mieux lorsqu'ils font partie d'une vision globale du réseau de transport de la ville".
Une stratégie globale est en effet un composant clé dans la réussite d'un programme de mobilité pour une municipalité. Seulement voilà, ces considérations ne semblent pas être celle des compagnies chinoises. Une fois les vélos dans les rues, celles-ci n'ont quasiment plus aucun contrôle sur leur flotte. Et les débordements entraînent des coûts pour la ville qui, parfois, doit envoyer ses propres agents pour nettoyer les rues des vélos entassés.
Pour le moment, les vélos en libre service de l'Empire du Milieu ne sont pas prévus pour débarquer en France. Mais il faut rester vigilant, au risque de voir nos trottoirs s'entasser de vélos inutilisés et inutilisables... Qu'en pensez-vous ?
Il n'y a pas qu'en Chine que l'on développe ces VLS sans bornes. Il y a Donkey Republic au Danemark, Dropbyke et FlickBike en Lituanie ou encore Urbee et Hello-Bike aux Pays-Bas.
source : http://www.weelz.fr/fr/velo-libre-service-chinois-europe-mobike-ofo/
Publié le 3 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans vls, velo, velo libre service, libre service, public, velo urbain, pedaler, sport, ville durable, green marketing, ecovelo, titibike
Un système de vélos en libre-service (VLS) met à disposition du public des vélos, gratuitement ou non.
Ce service de mobilité permet d'effectuer des déplacements de proximité principalement en milieu urbain.
Cette location de vélos est une forme de consommation collaborative et permet ainsi de lever trois freins à la pratique du vélo :
La plupart des dispositifs de vélos en libre-service permettent de retirer un vélo dans une station et de le déposer dans une autre.
source : https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9los_en_libre-service
Publié le 3 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans vélo libre-service électrique, velo, electrique, libre service, vls, assistance électrique, projet vls, titibike, ecovelo, batterie vae, application Titibike, smartphone, 4g, 3g, 2g, telecom, apps, application, sms, NFC, NTIC, nouvelles technologies, vélo libre service, vélo libre-service à assistance électrique, VAE libre-service, Vélo-partagé, Vélo en location courte durée, vélib électrique, vélo libre-service connecté, vélo libre-service sans génie civil, VLS, VAELS, vélo libre-service sans borne, Free floating vélo, RFID
Chez Titibike, le choix est simple : convaincus que les batteries amovibles sont la solution qui est à favoriser dans les années à venir Titibike promeut la batterie amovible car elle regroupe de multiples avantages :
En effet, la ville de Vannes, comme Laval tout récemment, a décidé de basculer son parc de VLS vers un nouvel opérateur (Golfe du Morbihan Vannes Agglomération). Ce dernier compte bien changer une partie du parc et passer à l’assistance électrique. Les anciens vélos seront en partie revendus.
TITIBIKE EN VERSION CLASSIQUE OU ÉLECTRIQUE ? C’EST VOUS QUI DÉCIDEZ !
La batterie est un élément différenciant de la solution Titibike. Elle a été conçue avec des caractéristiques avant-gardistes :
Vous l’aurez compris : la batterie du Titibike permet une utilisation très flexible et fun du vélo en mode électrique.
La hantise des utilisateurs de vélos en libre-service reste de se retrouver face à une station vide en arrivant sur place ! Grâce à l’application Titibike, il est possible de localiser et réserver un vélo pendant 15 minutes depuis son canapé avant de partir de chez soi.
En termes de service client, difficile de faire mieux !
Concernant la location du vélo, elle peut se faire via notre application Smartphone en connexion 3G/4G, en 2G avec l’envoi d’un SMS au serveur Titibike (très pratique pour les touristes étrangers notamment), mais aussi via une carte de transport type Pass Mobilité, avec le smartphone en mode « sans contact » directement en NFC sur le vélo, ou encore avec un badge d’entreprise/d’université/de congrès.
Rien de plus simple, il vous suffit de contacter l'équipe commerciale de TITIBIKE (au 02 40 72 08 76 ou sur info{at}titibike.com) qui vous attend de pied ferme pour mettre en place votre projet de VLS dès que possible !
En savoir plus : https://titibike.com/a-decouverte-velo-libre-service-titibike/