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3D SPORT CENTER

3D SPORT Center - Un regard curieux et observateur dans le secteur du Sport : révélations de changements dans le monde du SPORT ! En route vers le futur grâce l'intégration d'innovations technologiques et de bonnes idées : Faits majeurs, Tendances, Curiosités contemporaines ... bientôt réalités de notre quotidien. Le WEB, matière vivante !

Articles avec #sport catégorie

Bjorn Dunkerbeck - Champion Overall !

Publié le 5 Février 2020 par 3D SPORT CENTER dans windsurf, Bjorn Dunkerbeck, record, vitesse, speed, windsurfing, snowboarding, sport, world record

“I’ve been working at this sport all my life,” Björn enthuses. “It’s my passion and I live for it everyday. If I go without windsurfing for more than a day I get itchy and can’t wait to get out there. I’m basically a sports fanatic. If I’m not on the water I’m snowboarding or I’m mountain biking – but I can’t go without windsurfing

Bjorn Dunkerbeck

Bjorn Dunkerbeck - né le 16 juillet 1969 au Danemark, de mère néerlandaise et de père allemand 
Bjorn Dunkerbeck - né le 16 juillet 1969 au Danemark, de mère néerlandaise et de père allemand 

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Palmarès

  • 12 fois Champion du Monde PWA (88/89/90/91/92/93/94/95/96/97/98/99)
  • 10 fois Champion du Slalom PWA (88/89/90/91/92/93/94/05/11)
  • 7 fois Champion du Waveriding PWA (90/92/93/94/95/99/01)
  • 5 fois Champion du Course Racing PWA (90/91/92/93/94)
  • 5 fois Champion du Racing PWA (95/96/97/98/99)
  • 1 fois Champion du Freestyle PWA (98)
  • 2 fois Champion du Speed (94/05)
  • World Open Ocean Speed World Record: 44.35 knots / 82.13 km/h2

 

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La discipline ESCALADE fait son entrée aux JO Jeux Olympiques de 2020

Publié le 25 Octobre 2018 par 3D SPORT CENTER dans Jeux Olympiques, JO, France, Tokyo, skateboard, surf, escalade, 2020, JO 2020, escalade sportive, Jeux de Tokyo 2020, sport, athlète, grimpeur

Quel format pour l'escalade aux JO de Tokyo 2020 ?

 

A l'instar du baseball, du karaté, du skateboard et du surf, l'escalade constituera - pour la première fois de son histoire - une épreuve aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2020. Avec un grand enjeu : quel sera le format de la future compétition reine de l'escalade sportive ?

Le 3 août 2016 - dans sa 129e Session réunie à Rio (BRA) en amont des Jeux Olympiques - le CIO mettait fin à une attente de près de 30 ans des instances fédérales nationales et internationales : l'escalade est olympique. Elle sera au programme des Jeux de Tokyo en 2020. Soulagement.
Au travail ! Cette annonce a surtout été le point de départ d'un long processus de réflexion autour d'une question centrale : quel format pour l'escalade olympique ? Car le CIO a accompagné sa décision d'un cadeau empoisonné à l'IFSC, la fédération internationale d'escalade.

Le deal est simple : seuls 20 femmes et 20 hommes pourront participer à cette nouvelle épreuve olympique. C'est une décision prise entre le CIO et le COJO, le comité d'organisation local des JO de Tokyo. Il ne peut donc y avoir qu'une médaille pour les femmes et une pour les hommes. Un casse-tête pour la gouvernance de l'escalade. Pour s'en démêler, et ne laisser aucune des trois disciplines sur le carreau, l'IFSC a fait le choix de contourner le problème, et de proposer au CIO un format combiné de la vitesse, du bloc et de la difficulté.

Restait à dessiner ce nouveau format. Pour accompagner l'IFSC dans ce processus de création, la FFME (la fédération française d'escalade) et Austria Climbing (la fédération autrichienne d'escalade) ont proposé aux cinq autres fédérations nationales les plus importantes de faire des propositions, de les tester en conditions réelles, et d'en tirer une ou plusieurs propositions à faire à l'IFSC. Le groupe de travail – baptisé G7 - a simultanément informé l'IFSC de sa constitution, initiative que le bureau exécutif de la fédération internationale a ensuite validée et observée de près.

« Nous avions plusieurs impératifs en tête au moment de dessiner les contours de l'escalade olympique : respecter les grimpeurs, respecter les disciplines, respecter le public et intégrer le cahier des charges du CIO. Des directives de l'instance olympique, qui portent notamment sur des questions de durée d'épreuves et de contraintes de retransmission télévisuelle. Pas une mince affaire », explique Damien You, directeur-adjoint de la FFME en charge du haut-niveau, en première ligne dans l'effort du G7.

Ce groupe de travail - composé des fédérations italiennes, autrichiennes, russes, japonaises, chinoises, espagnoles et françaises - a commencé à plancher à l'automne 2016. « Ce fut un processus très intéressant. Cela a permis à chacun d'exprimer sa vision de notre sport et de confronter les différentes cultures de l'escalade. Les Chinois ne perçoivent pas nos disciplines de la même manière que les Autrichiens, par exemple », poursuit Damien You.

Discussions, séances de travail, et les 3 et 4 décembre 2016, un « test event » à Voiron en France, où l'ensemble des fédérations du groupe se sont retrouvées pour tester en conditions réelles - et avec des athlètes internationaux - les différentes propositions.
« A l'issue de ces tests, nous sommes parvenus à trouver un compromis. Car oui, c'est un compromis. Et nous avons livré le tout à l'IFSC en début d'année. C'est la fédération internationale qui a eu le dernier mot », assure Damien You. L'IFSC s'est prononcée le 11 mars 2017, durant son Assemblée générale à Québec (CAN), sur la proposition qu'elle a retenue. Et voilà ce que l'on sait aujourd'hui du format olympique de l'escalade.

Le schéma probable de la compétition d'escalade aux JO de Tokyo 2020 (LucasBoirat/FFME/D.R)
Le schéma probable de la compétition d'escalade aux JO de Tokyo 2020 (LucasBoirat/FFME/D.R)

Quelles sont les premières conclusions que l'on peut en tirer ?

On ne sait pas encore quel sera le processus de sélection pour les athlètes qui concourront à Tokyo. « Une seule chose est sûre : ils seront sélectionnés via une compétition au format olympique. Une forme de tournoi pré-olympique ou a minima un circuit de combiné olympique tenu à l'occasion d'un grand championnat. Un champion du monde sur une seule discipline ne sera pas sélectionné automatiquement par exemple », explique Damien You.

La finale se déroulera d'une seule traite, par l'enchaînement - dans cet ordre - de la vitesse, du bloc et de la difficulté. Et pourquoi dans cet ordre ? « Parce que compte-tenu du type d'effort dans chacune des disciplines et de leur timing, il était évident de choisir cette formule. »

Pas de grand bouleversement sur le déroulement des trois disciplines n'est à observer : la vitesse, le bloc et la difficulté se dérouleront selon le règlement de la Coupe du monde IFSC. « Il est important de montrer aux yeux du monde de vrais sports avec des athlètes de pointe. A moins de 4 ans des Jeux, il n'était pas possible d'opérer de grands changements, au risque de faire concourir des grimpeurs qui auraient dû s'adapter fortement à chacune des disciplines, en plus de devoir appréhender la formule combinée. »

Les classements à l'issue des qualifications et des phases finales se faisant en multipliant les rangs des résultats des trois disciplines, il favorisera les spécialistes. Les spécialistes d'une des trois disciplines ? « Je ne pense pas. Mon sentiment, c'est que le(la) futur(e) champion(ne) olympique sera un(e) grand(e) spécialiste d'une, voire de deux disciplines. Athlète qui aura su, en plus, ne pas passer complètement à côté de la 3e », conclut Damien You.

Et après Tokyo ? Rien n'est entériné pour le moment. L'escalade a deux moyens d'être aux JO 2024 à Los Angeles (USA) ou à Paris (FRA) : être à nouveau choisi en sport additionnel, ou intégrer le programme olympique par la grande porte. Encore une fois, une seule chose est sûre : nous saurons cet été si cette 2e option a été choisie par le CIO. Affaire à suivre.

source : https://www.lequipe.fr/Adrenaline/Escalade/Actualites/Escalade-et-olympisme-quel-format-pour-l-escalade-aux-jo-de-tokyo-2020/800116

ESCALADE : L'incroyable ascension des frères MAWEM !

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Vendee Globe : Armel Le CLÉAC’H, BANQUE POPULAIRE VIII & Alex THPMSON, Hugo BOSS

Publié le 27 Août 2018 par 3D SPORT CENTER dans régatiers, Alex THOMSON, Armel Le Cléac’h, Kerguelen Islands, south Indian Ocean, regate, tour du monde, voile, Banque Populaire VIII, Hugo BOSS, leader, sport, solitaire, François Gabart

Rappelon-nous : Armel Le Cléac’h a franchi la ligne d’arrivée du 8e Vendée Globe ce jeudi 19 janvier 2017 à 16 heures 37 minutes et 46 secondes, heure française. Pour sa 3e participation, le skipper de Banque Populaire VIII, signait une performance remarquable et impose un nouveau temps de référence sur ce tour du monde en solitaire en monocoque : 74 jours 03 heures 35 mn 46 s (soit 3 jours 22h et 41 mn de moins que François Gabart en 2013).

Alex THOMSON fut son rival. Extraordinaire bagarre enter les deux régatiers.

With the precious support of the French Navy (Marine Nationale Française) and French television TF1, a team of two people (Fulvio dapos;Aguanno et Tanguy Thuaud) from Nefertiti Prod. spent forty days onboard the Frégate - helicopter carrier - NIVOSE in order to shoot videos from the Vendée Globe sailors around the Kerguelen Islands, in the south Indian Ocean 

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Velos en libre-service dans PARIS : vols et degradations font capituler Gobee. bike

Publié le 26 Février 2018 par 3D SPORT CENTER dans acte de vols, vols, deterioration, ville, cité, Paris, VLS, velo libre service, smartphone, Gobee. bike, cycle, sport, geolocalisation, apps

Des actes de vols, recels de vol et de détériorations n’ont fait que s’amplifier, devenant le nouveau passe-temps d’individus, le plus souvent mineurs, encouragés par des contenus largement diffusés et partagés sur les réseaux sociaux

Gobbe. bike

Aujourd’hui, cette situation critique ne nous permet pas de poursuivre notre activité et nous sommes donc contraints de mettre fin à notre service au niveau national. Nous avons remboursé l’intégralité des cautions et crédit remboursables des utilisateurs. Le remboursement apparaîtra sous 10 jours ouvrés sur le compte bancaire ayant servi lors de votre inscription

Gobbe. bike

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Relatez vos exploits sur les Réseaux Sociaux : Offrez-vous l'AMPLIFICATION ! B'Sociable !

Publié le 6 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans be sociable, b'sociable, reseau social, reseaux sociaux, gopro, hero, sport, partager, communication, image, video

Be -Sociable !
Be -Sociable !

"Une image vaut 1000 Mots"

Le phénomène "partage" vu en image, déclenché par l'avènement des Réseaux Sociaux.

EPIC WATER SLIDE : BSR Royal Flush - Waco, Texas

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GoPro Hero6 réalité virtuelle Gopro FUSION : du 360° en 5.2K au Full HD 16:9

Publié le 5 Octobre 2017 par OOKAWA-Corp dans gopro, hero, fusion, image, b'360, be 360, sport, be digital, b360, visite virtuelle

Cet article est reposté depuis OOKAWA Corp..

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Doit-on craindre l’arrivée du vélo libre-service chinois en Europe ?

Publié le 3 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans Pays-Bas, Lituanie, Danemark, velo, velo libre service, europe, start-up, street marketing, Chine, Hollande, USA, sport, trafic, deplacement urbain

Les systèmes de vélo en libre-service fonctionnent mieux lorsqu'ils font partie d'une vision globale du réseau de transport de la ville

L'ECF, la fédération européenne des cyclistes

Des centaines de vélos empilés les uns sur les autres.

Ce sont des images que vous avez déjà vu dans les médias l'année dernière. Il s'agissait des vélos en libre-service des entreprises chinoises Mobike, BlueGogo ou encore Ofo...

Nous vous avions déjà parlé de la compagnie Mobike en janvier dernier
 

Les chiffres donnent le vertige. Ces compagnies se font financer à coups de millions de dollars par de grands groupes d'investisseurs. En novembre 2016, Ofo avait déployé 200 000 vélos en Chine dont 30 000 à Shanghai. Quand à Mobike, plus de 30 000 vélos ont été implémenté en quelques semaines dans quatre grandes villes chinoises. Aujourd'hui, elle "gère" plus de 5 millions de vélos dans une centaine de ville en Chine.

Et ces start-up, qui génèrent des millions de revenus, ont fait des petits. Des dizaines d'autres sociétés ont flairé le filon, copié le concept (habitude chinoise) et ont elles-aussi balancé des centaines de vélos dans les rues.

Sans bornes

Leur concept est innovant puisqu'il ne repose plus sur un système de bornes. Les utilisateurs doivent disposer d'un smartphone. L'application géolocalise les vélos proches de vous. Un concept dont je vous avais déjà parlé en 2010 avec la start-up Social Bicycles.

 

Les VLS peuvent être laissé n'importe où
Ainsi, les VLS peuvent être laissé n'importe où. Oui, vous avez bien lu, n'importe où. Et c'est là où le bât blesse. 

Vous avez d'un coté un système peu onéreux pour l'utilisateur (parfois quelques centimes le trajet) et de l'autre, des utilisateurs peu soucieux d'un objet qui ne leur appartient pas.

Résultat : des milliers de vélos en mauvais état de fonctionnement ce sont amoncelés un peu partout dans le pays. De plus, les systèmes de verrouillage se sont avérés facile à détourner, faisant de ces vélos des cibles de choix pour les voleurs.

Pire encore, n'ayant pas besoin de borne, certains utilisateurs court-circuitent le système et jugent normal de conserver la monture chez eux (appartement, jardin, garage...), empêchant par la même un autre utilisateur de le louer. On retrouve également ces vélos en vente sur des sites de petites annonces ou d'enchères.

L'exemple de Wukong Bike est édifiant : cette société avait implanté 1200 vélos dans la ville de Chonqing, mais elle a dû mettre la clé sous la porte seulement cinq mois plus tard.

La cause : 90% de sa flotte avait tout simplement disparu !

Une politique agressive

Les start-up derrières ces vélos en libre-service brassent des millions bien qu'elles ne soient pas encore rentable. Pire, elles s'avèrent aussi peu regardante sur la planification et sur la régulation de leur service. Elles se permettent ainsi d'aller s'implanter dans des villes, sans même avoir reçu la moindre autorisation.

Ce fut le cas de l'entreprise BlueGogo qui, du jour au lendemain, a déversé des centaines de vélos dans les rues de San Francisco, entraînant les mêmes problèmes cités plus haut. Mais la ville a vite réagi, en interdisant purement et simplement à la société chinoise d'implanter ses vélos et en leur ordonnant de les retirer immédiatement de la voie publique, avec une amende salée à la clé.

Après l'Asie, et avec les Etats-Unis et l'Australie, ces sociétés lorgnent désormais sur la vieille Europe, en tentant de s'y implanter de manière plus ou moins légales. Récemment à Amsterdam, voyant d'un mauvais œil ces vélos débarquer dans des rues déjà saturées de bicyclettes, a réussi à interdire ce type de système jusqu'à nouvel ordre.

Aujourd'hui, ces sociétés ont procédé à des lancements au Royaume-Uni (Londres, Cambridge, Manchester) et plus récemment encore en Italie (Florence et Milan). Les municipalités sont en effet séduites par le coût très faible de l'installation de tels systèmes, puisqu'ils ne nécessitent aucune modification lourde de voirie.

Seulement, les édiles doivent aussi considérer l'impact que peut avoir le déversement de centaines de vélos sur ses habitants et sur la façon dont ils se déplacent. L’infrastructure se doit d'être à la hauteur et cela ne se fait pas en un claquement de doigt. Et cela doit s'accompagner d'un minimum de pédagogie auprès des futurs utilisateurs.

L'ECF, la fédération européenne des cyclistes, a récemment exprimé ses craintes face à l'invasion des vélos sans bornes : "Les systèmes de vélo en libre-service fonctionnent mieux lorsqu'ils font partie d'une vision globale du réseau de transport de la ville".

Une stratégie globale est en effet un composant clé dans la réussite d'un programme de mobilité pour une municipalité. Seulement voilà, ces considérations ne semblent pas être celle des compagnies chinoises. Une fois les vélos dans les rues, celles-ci n'ont quasiment plus aucun contrôle sur leur flotte. Et les débordements entraînent des coûts pour la ville qui, parfois, doit envoyer ses propres agents pour nettoyer les rues des vélos entassés.

En revanche, les données générées par les déplacements des utilisateurs sont revendues à prix d'or aux municipalités (tout comme le font des services comme Strava Metro).

Pour le moment, les vélos en libre service de l'Empire du Milieu ne sont pas prévus pour débarquer en France. Mais il faut rester vigilant, au risque de voir nos trottoirs s'entasser de vélos inutilisés et inutilisables... Qu'en pensez-vous ?

Il n'y a pas qu'en Chine que l'on développe ces VLS sans bornes.  Il y a Donkey Republic au Danemark, Dropbyke et FlickBike en Lituanie ou encore Urbee et Hello-Bike aux Pays-Bas.

source : http://www.weelz.fr/fr/velo-libre-service-chinois-europe-mobike-ofo/

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VLS pour Vélos en libre-service : mis à disposition du public pour déplacements de proximité en milieu urbain

Publié le 3 Octobre 2017 par 3D SPORT CENTER dans vls, velo, velo libre service, libre service, public, velo urbain, pedaler, sport, ville durable, green marketing, ecovelo, titibike

VLS pour Vélos en libre-service : mis à disposition du public pour déplacements de proximité en milieu urbain
VLS pour Vélos en libre-service : mis à disposition du public pour déplacements de proximité en milieu urbain

Un système de vélos en libre-service (VLS) met à disposition du public des vélos, gratuitement ou non.

Ce service de mobilité permet d'effectuer des déplacements de proximité principalement en milieu urbain.

Cette location de vélos est une forme de consommation collaborative et permet ainsi de lever trois freins à la pratique du vélo :

  1. le stationnement à domicile,
  2. le vol,
  3. la maintenance de son vélo personnel.

La plupart des dispositifs de vélos en libre-service permettent de retirer un vélo dans une station et de le déposer dans une autre.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9los_en_libre-service

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Velo de course avec moteur électrique Vivax développant une puissance max 200 watts

Publié le 21 Août 2017 par 3D SPORT CENTER dans velo, velo de course, vivax, moteur, performance, sport, Bike Concept, trucage, Belgique, velo de course truqué, velo truqué, vls, velo electrique

Velo de course avec moteur électrique Vivax développant une puissance max 200 watts

velo de course modifié par moteur electrique
velo de course modifié par moteur electrique

Ce vélo de course à l'air normal, et pourtant il dissimule un moteur électrique qui donne lieu aujourd'hui à de nombreuses polémiques chez les cyclistes professionnels.

Nous l'avons testé en exclusivité, grâce à Bike Concept, un distributeur belge. Il vrai que ce moteur Vivax pouvant développer une puissance max 200 watts apporte un sérieux gain de performance qui peut faire la différence sur la ligne d'arrivée.

Exclusif : on a testé le vélo de course truqué

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Enquête sur les moteurs cachés des vélos du Tour de France : après le dopage, le trucage !?

Publié le 23 Juin 2017 par 3D SPORT CENTER dans dopage, velo, moteur electrique, leader, enquete, journaliste, sport, sportif, monde du velo, course

Enquête sur les moteurs cachés des vélos du Tour de France

 

Enquête sur les moteurs cachés des vélos du Tour de France

 

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